Le pape François est décidément un personnage peu banal. Au Salon du Livre, dont l’Argentine était l’invitée d’honneur, nous avons reçu la visite d’un écrivain qui nous a raconté comment François avait dû réapprendre le latin… avec la méthode Assimil.

Les armes du pape François
Les armes du pape François

Il y a une dizaine de jours se tenait le Salon du Livre à la Porte de Versailles. Pendant la journée de dimanche, nous avons reçu la visite d’un écrivain argentin, Alfonso Lecher, parfait francophone et grand amateur d’Assimil depuis de nombreuses années. Alfonso a une autre particularité : c’est un ami d’enfance de Jorge Mario Bergoglio, qui n’est autre que… le pape François. Il nous a raconté comment, à l’époque où le futur pape était videur de boîte de nuit pour financer ses études de chimie, celui-ci avait perdu connaissance après une violente bagarre. « Jorge a subi un traumatisme crânien et après quelques jours d’hôpital, je l’ai accueilli chez moi pendant sa convalescence » raconte Alfonso Lecher. « Lorsqu’il a commencé à aller mieux, il s’est aperçu qu’il ne connaissait plus un mot de latin (cela arrive parfois après de sérieux traumatismes comme celui qu’il venait de subir). Du coup, comme j’avais une méthode Assimil de latin chez moi, il s’est plongé dans cet ouvrage avec avidité. C’est à Assimil qu’il doit, en quelque sorte, son second apprentissage du latin ! »
Le pape François rejoint ainsi la longue liste des personnalités (Jean Marais, Maurice Chevalier, Eugène Ionesco, Kirk Douglas, Niels Arestrup…) qui ont appris une langue avec Assimil. On doit avouer que nous sommes assez fiers de cette référence.